Plutôt que continuer à tenir leur restaurant à Vincennes, Corinne et Didier souhaitaient se rapprocher de là où ils habitent depuis 20 ans. Mais toujours pour offrir une cuisine de tradition et de fameuses spécialités du Cantal, dont Didier est originaire. Ils trouvent, embellissent et décorent ce bel établissement en cœur de commune, doté de deux salles (dont une sous véranda) et d’une terrasse, chacune de 30 places. Avec un parking de 50 places tout proche. L’ouverture se fait le 1er juillet 2021. Une équipe de sept personnes fait tourner l’affaire : Didier, the boss, qui s’y connaît pour mettre l’ambiance ; Corinne, le couteau-suisse ; Pascal, le chef et toute sa compétence ; Marie Lyne, la seconde de cuisine ; Lionel, le serveur et son expérience ; Sylvie, serveuse extra et Yanis, l’apprenti cuisinier. L’établissement ne désemplit pas grâce aux fidèles et au bouche à oreille, qui porte jusqu’en Ile-de-France, en Bourgogne et bien sûr dans le Loiret.
On s’y attarde à table, le bar est très fréquenté. Carte nouvelle tous les mois, et chaque jour une entrée et un plat sont proposés, où l’on trouve truffade, tartine auvergnate, plats avec Aligot, œufs meurette, escargots de bourgogne et plats cuisinés au chablis, andouillette de Jargeau, avec lesquels s’accommodent vins de Loire, de Bourgogne, du Rhône et du Bordelais. Le chef se fournit en légumes frais chez Georges Groeneweg à Saint-Hilaire-Les-Andrésis, et surtout en pommes de terre qui après beaucoup de travail se transforment en fameuse frites maison dont raffolent les clients. Les fromages de chèvre chez Isabelle aux Cabris de Piffonds, et la crème et fromage blanc chez Soccard à Domats.
Mais il y a aussi des pizzas les vendredi et samedi soir, sur place ou à emporter, avec bien sûr une recette maison… la Cantalbetz.